Nos ambassadrices et ambassadeurs

Depuis 2019, les Journées de la paix sont représentées par des ambassadrices et ambassadeurs qui portent le message de la paix et facilitent la promotion de la programmation de l’événement.

Nous remercions chaleureusement l’autrice et animatrice Kim Thúy d’être à nos côtés. C’est un réel plaisir et un grand honneur de pouvoir compter sur son soutien au fil des ans!

« La 9e édition des Journées de la paix est une invitation à Agir pour l’égalité, bâtir la paix. La programmation 2023 nous offre l’occasion idéale d’approfondir notre compréhension d’enjeux clés, de développer nos aptitudes comme bâtisseuses et bâtisseurs de paix et d’entreprendre une démarche collective vers la paix et l’harmonie sociale. En tant que porte-parole de cette initiative phare du Réseau pour la paix et l’harmonie sociale, je m’engage à faire connaître et à encourager la participation à la vaste gamme d’activités proposées par différents organismes de terrain et institutions du Québec du 21 septembre au 2 octobre. C’est le moment parfait pour travailler ensemble à une société plus égalitaire, fondée sur le respect, la justice sociale et l’inclusion. Agissons et bâtissons la paix! »

— Brian Bronfman, porte-parole

Brian

Crédit : Elena Lexina

« La paix ne peut jamais être tenue pour acquise. Comme un humain, elle a besoin d’être nourrie tous les jours si nous désirons la garder vivante, en santé et en bonne forme. Comme un anniversaire de naissance, nous célébrons la paix une fois par année pour la mettre en lumière, pour remercier la lumière qu’elle nous offre et pour nous rappeler qu’elle est notre source de lumière. Soyons nombreux à la faire grandir, à la préserver, à la faire briller. »

— Kim Thúy, marraine d’honneur

Kim-300x300-new

Crédit : Sarah Scott

« Comment mesure-t-on la paix dans notre société, qui y accède et pourquoi?

Voici là les premières interrogations qui m’animent à l’aube des Journées de la paix. C’est l’occasion parfaite de réfléchir à ces questions, mais aussi une chance inouïe de repenser notre conception de la paix et de se demander collectivement quels sont les critères sociaux qui la favorisent. La paix et l’égalité mondiale seront seulement possibles lorsque l’ensemble des communautés vivront dignement sans égard à leur statut social, leur situation économique ou académique, la couleur de leur peau ou leur origine. Œuvrons afin que la paix ne soit plus un privilège, mais un droit fondamental. »

— Stéphanie Germain, collaboratrice
Directrice générale, Éduconnexion

SGermain

Ambassadrices et ambassadeurs des éditions précédentes

Catherine D’Amours

Kevin Raphael

Will Prosper

YidLife Crisis